Projet de décision de l’ASN relative à la poursuite du fonctionnement du réacteur 3 de la centrale nucléaire du Bugey après son troisième réexamen périodique

Arrêtons la fuite en avant vers la catastrophe. Souvenons-nous qu'aucune règlementation ne suffit à empêcher l'accident , et qu'en matière de nucléaire les conséquences démesurées justifient qu'on n'attende pas qu'il survienne pour prendre les précautions qui s'imposent après Tchernobyl et Fukushima. Naoto Kan, premier ministre japonais en poste lors de l'accident de Fukushima, le dit avec une simplicité désarmante:

"il n'est pas si didifficile d'éviter les accidents nucléaires . Il suffit d'arrêter les centrales"

et donc de ne pas prolonger leur exploitation....

Il faut arrêter cette mascarade de sûreté nucléaire et fermer définitivement ce réacteur n° 3 ainsi que les trois autres.

- Ce réacteur a déjà largement dépassé le temps d'activité tel qu'il était prévu et le prolongé frise l'inconscience par rapport aux risques encourus (cf Tchernobyl et Fukushima). Même si les contrôles n'ont rien relevé cela ne veut pas dire qu'il n'y a rien. La durée de vie des centrales au moment de la conception étaient définies pour des raisons bien précises qui sont toujours d'actualités. Rien dans votre analyse ne montre que ces raisons ont changée.
- Il est enfin temps de se tourner vers les énergies alternatives au nucléaire et de fermer ce site qui pose de graves problèmes de sécurité, en particulier pour les nombreux habitants des agglomérations de Genève et Lyon mais aussi bien au-delà car on sait qu'il n'y a que pour l'accident de Tchernobyl que les frontières ont été efficaces contre les radiations...

- La sortie du nucléaire, c'est maintenant ! En particulier pour les réacteurs vieillissants qui font courir un danger certain pour les populations. Investissons autrement l'argent prévu pour le prolongement de ces centrales qui n'ont jamais été conçues pour durer aussi longtemps : développons le solaire, l'éolien et l'hydraulique !

Comment se fait-il que nous soyons encore à tergiverser pour savoir si oui ou non , nous devons persévérer avec le nucléaire ?!!!!!

Cette énergie est beaucoup trop potentiellement dangereuse (non pouvons remercier Dieu de n'avoir connu aucune catastrophe grâve , du moins , de ce cotés-ci du globe !!) ; et en plus , elle engloutie sans effort , des subventions publiques astronaumiques qui seraient très utile pour develloper les énérgies renouvellables !!!!

S'il vous plait , par pitié , soyez un peu honête !!!

Merci !

Il ressort des analyses de l'ASN elle-même qu'un accident majeur ne peut être exclu, et est don enviageable- à court ou moyen terme? Les conséquences en ont été analysées et des plans d'urgence légalement élaborés. Mais les solutions proposées sont-elles réellement suffisantes, adaptées et efficaces dans ce bassin de 4 millions d'habitants ?

L'arrêt définitif de ce réacteur a au moins 3 avantages majeurs qu'aucune autre proposition ne saurait atteindre:

- sanitaire, à court, moyen, long et très long terme: réduire le risque d'accident à 0;

- économique: réduire ce risque pour les finances publiques et l'économie du pays- le coût en a été estimé par l' IRSN à 400 millirds d'euros (20% du pnb), improvisionnables, et qu'il faut commencer à consacrer sérieusement aux énergies renouvelables;

- légal: appliquer immédiatement la loi de Transition énergétique.

Enfin il est frappant de voir que le Luxembourg est prêt à financer en partie le démantèlement des centrales de tous les pays limitrophes, de peur d'un accident à court ou moyen terme- pas seulement pour ses institutions financières, j'ose croire.

Nous voulons un monde sans menace d'irradiation,

l'accident nucléaire n'est un accident que du point de vue des ingénieurs et technocrates, il est en fait inséparable de sa cause: l'exploitation de la fission. Toute probabilité non nulle, au bout d'un temps assez long, finira par se réaliser.

Ce concept d'accident révèle bien le développement du déni des détails: les déchets, les instabilités politiques, économiques, la filière polluante et scandaleuse de l'uranium ne doivent pas entamer la foi dans la maîtrise technologique mise en avant. Remettre en question le nucléaire, ses défenseurs, serait comme trahir la modernité, l'excellence de la recherche, à laquelle on doit répondre que ça n'est pas le milieu de la recherche qui défend le nucléaire, bien au contraire, mais le nucléaire lui-même et ceux qui ont leurs intérêts liés à celui-ci.

Les conditions réelles d'exitence de la filière nucléaire, nous sommes très nombreux à le savoir, sont la finance, les intérêts des grands groupes, l'enfèrement dans la bêtise technologique (dialectique problème/solution, jouissance démiurgique, téléologie de la maîtrise du réel, reproduction des castes technocratiques), et le rapport de force avec la société civile.

Le maintien de l'exploitation de l'atome ne s'inscrit pas dans un projet de société, les arguments d'autorité et les justifications de mauvaise foi pour le défendre sont bien là pour nous en persuader.

Un projet de société consiste à faire des choix, non à se cacher derrière la nécessité au nom de l'utilitarisme.

L'utilitarisme permet la confiscation du débat par les experts. Le choix du nucléaire n'est pas une question technique: nous choisissons de nous en passer en revendicant notre non expertise, bien que la société civile n'ait jamais été aussi lucide!

Les méthodes d' économies d'énergies accessibles à l'heure actuelle, malgré la consommation sacrificielle à laquelle nous sommes enclins, permettent d'ores et déjà de se passer totalement de l'éléctricité d'origine nucléaire pour la vie domestique.

Mon ménage, soit cinq personnes, consomme moins de 4 kwh par jour, autant dire l'équivalent de la production journalière de 5 m2 de panneaux photovoltaïques.

Un peu de courage, fermez les réacteurs du Bugey, etle reste!

Il ressort des analyses de l'ASN elle-même qu'un accident majeur ne doit pas être exclu, et doit donc être envisagé. Les conséquences en ont été analysées et des plans d'urgence légalement élaborés. Mais les solutions proposées sont-elles réellement suffisantes, adaptées et efficaces dans ce bassin de 4 millions d'habitants ?

L'arrêt définitif de ce réacteur a au moins 3 avantages majeurs qu'aucune autre proposition ne saurait atteidre :

- sanitaire, à court, moyen, long et très long terme : réduire le risque d'accident à 0 ;

- économique : réduire à 0 le risque d'un tel accident pour les finances publiques et l'économie du pays - le coût en a été estimé par l' IRSN à 400 millirds d'euros (20% du pnb), improvisionnables, et qu'il faut commencer à consacrer sérieusement aux énergies renouvelables ;

- légal : appliquer immédiatement la loi de Transition énergétique.

L'objectif est la baisse de la production de gaz à effet de serre, ainsi que de particules fines. L'énergie nucléaire contribue à cet objectif à moindre coût. L'exploitation de cette tranche doit se poursuivre en toute sureté sous la responsabilité de l'exploitant et sous le contrôle de l'ASN.

Bugey 3 doit poursuivre sont exploitation en prenant en compte les remarques de l'ASN.

Les éoliennes c'est des paysages détruits, des terres rares dans les systèmes magnétiques, des impôts et taxes qui augmentent exponentiellement avec l'obligation d'achat d'une énergie aléatoire.

Les nouvelles lois de PPE doivent prendre aussi en compte l'aspect financier de la production d'énergie et les investissements à long terme

Il ressort des analyses de l'ASN elle-même qu'un accident majeur ne doit pas être exclu, et doit donc être envisagé. Les conséquences en ont été analysées et des plans d'urgence légalement élaborés. Mais les solutions proposées sont-elles réellement suffisantes, adaptées et efficaces dans ce bassin de 4 millions d'habitants ?

L'arrêt définitif de ce réacteur a au moins 3 avantages majeurs qu'aucune autre proposition ne saurait atteidre :

- sanitaire, à court, moyen, long et très long terme : réduire le risque d'accident à 0 ;

- économique : réduire à 0 le risque d'un tel accident pour les finances publiques et l'économie du pays - le coût en a été estimé par l'IRSN à 400 millirds d'euros (20% du pnb), improvisionnables, et qu'il faut commencer à consacrer sérieusement aux énergies renouvelables ;

- légal : appliquer immédiatement la loi de Transition énergétique.
enfin, il est amusant de prendre en compte le fait que le luxembourg est prêt a financer une partie du démantèlement des centrales de tous les pays limitrophes, de peur d'un accident a court ou moyen terme.

Il ressort des analyses de l'ASN elle-même qu'un accident majeur ne doit pas être exclu, et doit donc être envisagé. Les conséquences en ont été analysées et des plans d'urgence légalement élaborés. Mais les solutions proposées sont-elles réellement suffisantes, adaptées et efficaces dans ce bassin de 4 millions d'habitants ?

L'arrêt définitif de ce réacteur a au moins 3 avantages majeurs qu'aucune autre proposition ne saurait atteidre :

- sanitaire, à court, moyen, long et très long terme : réduire le risque d'accident à 0 ;

- économique : réduire à 0 le risque d'un tel accident pour les finances publiques et l'économie du pays - le coût en a été estimé par l'IRSN à 400 millirds d'euros (20% du pnb), improvisionnables, et qu'il faut commencer à consacrer sérieusement aux énergies renouvelables ;

- légal : appliquer immédiatement la loi de Transition énergétique.