Maîtrise des nuisances et de l’impact sur la santé et l’environnement

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Il est toujours aussi effarant de lire les commentaires dès que l'on touche au nucléaire.

A ce jour l'énergie nucléaire nous fourni une puissance électrique qu'aucune autre technologie ne pourrait nous fournir. Vouloir sans cesse prôner la suppression du nucléaire sans jamais apporte de solution de remplacement équivalente est un raisonnement plus que douteux.

Il existe à ce jour près de 400 réacteurs en activité dans le monde, mais il n'y en a qu'un qui préoccupe, Tchernobyl. Il n'y a eu que 3 accidents depuis la naissance de l'industrie nucléaire, quelle autre technologie peut se vanter d'un tel rapport Accident/Activité. De plus ces accidents sont surtout liés à la mauvaise conception de l'usine (Three Miles Island, Fukushima) ou aux erreurs humaines (Tchernobyl).

Par ailleurs il existe encore au 21e siècle cet amalgame entre l'énergie nucléaire et l'uranium. D'autre technologie sont possibles, moins exposées et plus propres, comme les usine au thorium à sel liquide par exemple, ou même la fusion nucléaire qui nous laisserait comme déchets que de la vapeur d'eau.

Le nucléaire fait peur parce qu'il est associé aux bombes atomiques et que des associations sans scrupules s'acharnent à distiller cette peur dans le public.

Aucun pays industrialisé ne se passera plus jamais du nucléaire. Alors plutôt que de se battre pour le faire disparaître, luttons plutôt pour que les gouvernements financent des projets de recherches sur le nucléaire propre, insistons pour que la recherche retrousse ses manches pour penser à autre chose que l'uranium !

Cher Seb,

Quelle tristesse que de vous lire. Toujours les mêmes arguments ! les écolos vous nous faire retourner à l'âge de pierre ! Un peu léger non ?
Je ne suis pas technicienne mais suffisamment informée et consciente pour savoir que cette énergie est plus destructrice que les autres quel que soit le lieu géographique (d'ailleurs Fessenheim n'est-elle pas sur une faille sismique ?). Peut-être pouvez-vous nous dire quand l'accident arrivera ?
Je n'ai pas, et ne pense pas être la seule, envie de prendre ce risque et détruire une terre que nous ne faisons qu'emprunter et transmettre aux générations futures mais cela est certainement trop loin de vos préoccupations !
Une chose est sûre, nous continuerons notre combat.
Ah, un petit détail, je n'appartiens à aucun parti politique ni association environnementale !

En réponse à certains désinformateurs davantages simplistes et démagogues que malhonnètes, je précise qu'il ne faut pas se réfugier derrière la seule question: "Et par quelle énergie remplace-t-on le nucléaire? ".
La bonne question à se poser est sur notre façon de consommer l'énergie. De quelle quantité d'énergie devons nous disposer pour quels besoins?
Au lieu de faire l'autruche et de se cacher derrière le faux argument du soi-disant prix de revient plus avantageux du nucléaire, regardons en face tous les risques afférents. Depuis la prétendue autonomie énergétique, aux investissements nécessaires jusqu' à la gestion des déchets que notre industrie maîtrise.
Notre autonomie : Ah Bon? Note territoire regorge D'uranium?
Les investissements: C 'est bizarre. Le projet EPR est validé pour 4 milliards. c'est donc que Flamanville sera rentable à prix. En fait, grâce à la nos experts il faut renforcer ceci et cela...nouveau prix 6 milliards....Encore rentable puisque le projet continue....Finalement on en est à la 8 milliards et l'aventure continue.... Si à la 8 milliards on gagne des sous, combien serions nous devenus riches (enfin surtout Areva) avec un coût initial de 4 Milliards!!!!! j'ai comme l'impression qu'on se moque de nous, qu'on ne sent rien venir et que en plus, on dit MERCI!!!
Les déchets: Celui qui s'appuie sur l'argument de la difficulté à traiter la silice, ne semble pas au courant que non seulement les résidus de la fission ne savent pas non plus être éliminés autrement que par l'enfouissement. Le danger reste.

Sachons nous remettre en question. Payons le juste prix et intéressons nous au scénarios proposé par Negawatt.org.
3 mots clés :
SOBRIÉTÉ - EFFICACITÉ - RENOUVELABLES

Ce qui mériterait d’ être ajouté.

Art 3.1.1-I. p. 11. Beaucoup d’INB sont de grandes installations industrielles qui font un important usage des sols, des eaux et de l’air pour leur fonctionnement et leurs rejets, elles sont assujetties par le droit de l’environnement à de nombreuses obligations qui concernent les domaines suivants :
- mesures nucléaires et radiochimiques,
- analyses chimiques, physico-chimiques , écotoxicologiques et hydrobiologiques des eaux,
- écologie des circuits de refroidissement : contrôle des biosalissures et des microorganismes potentiellement pathogènes et des rejets en résultant.
- écologie des milieux terrestre et aquatique, biodiversité.

L’exploitant dispose sur chaque site d’INB, du personnel compétent dans chacun des domaines concernés par son activité (compétence sanctionnée par un diplôme). L’exploitant est tenu de justifier l’absence de compétence en permanence sur son site par l’absence de besoin du fait de la spécificité du site. Il établit et met à jour la liste des personnels avec les compétences requises, cette liste indique le nombre de personnes par fonction et unité d’affectations (service, laboratoire, atelier). Elle est examinée par la CLI pour avis et validée chaque année par l’autorité administrative et figure dans le rapport annuel d’environnement.

Remarque : Il est évident que les grandes INB comme les sites électro-nucléaires ont tous ces besoins. Il est en particulier inadmissible qu’il n’y ait pas dans chaque CNPE une unité chargée du contrôle des biosalissures (biologie et traitements) et des questions d’écologie et de biodiversité. L’exploitant doit impérativement avoir une réelle expertise en permanence en interne, une évaluation une fois par an est nécessaire mais insuffisante. Investir dans du matériel performant c’est bien, mais cela ne remplace pas le besoin de compétences.

Autre remarque:

Art 3.3.8. mesures en continu de T, pH, cond, OD dans « le milieu ambiant » en amont et en aval en cours d’eau. Mesures en continu en mer, lac ou étang, dans la zone de mélange. Attention aux grandes fluctuations dans la zone de mélange et surtout aux difficultés de maintenance des appareils. Par ailleurs quel est l'intérêt de mesurer dans la zone de mélange telle que définie par l'arrêté ? Et « lorsque cela est pertinent en un point situé en amont et en un point situé en aval du point de rejet ». Impossible de définir un point amont et un point aval du rejet en mers à marées, en estuaires et même en lacs. Il serait plus judicieux d'imposer à l'exploitant une station de mesure en continu des 4 paramètres de base de qualité d'eau à la prise d'eau (a priori lieu peu impacté par le rejet) et au rejet de son installation. Les appareil étant dans l'enceinte du site seront plus aisément contrôlés et maintenus en état de fournir des données fiables et en continu.

Bonjour à tous les pseudos écolos qui prêchent la bonne parole ,
Bien sûre que le nucléaire pollue et que c'est dangereux mais expliquer moi comment on fait pour le remplacer ??
Le charbon ? et les gaz à effet de serre ? je vous rappelle que la calotte glacière fond à vue d'oeil et que les conséquences sur le Gulf Stream pourrait être irréversible.
Le pétrole ? idem que le charbon sauf qu'en plus , c'est hyper dangereux . Personne ne s'intérroge sur les raffineries situées en bord de fleuve ou de mer ( CF Feyzin ) qui en cas de tsunami (lol) priverait des millions de français d'eau.... On boira tous du vin bio au pétrole ?
L'éolien ? c'est pas mal mais qui veut mettre une éolienne ( bruyante ) dans son jardin ?? Et puis, c'est con mais quand il n'y a pas de vent , on ne va pas bosser , car ce n'est pas la lumière qui consomme beaucoup , ni même les ménages mais bien les entreprises possédant d'énormes moteur ... Fermons les entreprises , ça fera du bien au chomage .... Et qui irait à la plage si il y avait des éoliennes tout les 100m sur le littoral français ? Hors , le tourisme en France , c'est une des rares sources de revenus du pays des plus importantes....
Le solaire ? Super , ils sont composés de silicium si je ne m'abuse ... Hors , on ne sait toujours pas comment les retraiter ... Regarder quelques photos de champs entiers de vieux panneaux solaires s'aglutinant dans des 'casses' a panneaux ( cf Silicon Valley ).
l'hydrolique ? c'est bien mais la France est déjà à saturation sur les barrages et autres conduites forcées . On pourrait en rajouter quelques uns par ci par là et puis niveau sécurité c'est pas top non plus . Qu'arriverait il aux Lyonnais si le barrage de Vouglans sautait ?? Des milliers de morts ...
Bref l'énergie n'est par définition pas sûre puisque c'est de l'énergie....
Après le nucléaire , ce n'est pas le top mais ça reste le meilleur compromis ( pour moi ) sécurité/cout/faisabilité.
Bien sûre qu'il faut que le nucléaire continue à augmenter en niveau de surêté mais comparer la situation du Japon ( Ile sismique au possible avec 298 tremblements de terre recensé en 2012 ) et la France ... ) Allons .... Un peu de sérieux ....

Tout le monde a peur de ce qu'il ne connait pas.
Il faudrait arrêter d'aller travailler , il y a le risque d'accident de voitures .... ou pire un astéroide pourrait tomber sur la planète ... il faut vite changer de planète ....

Arrêtons d'abord le pétrole ( donc les plastiques qui polluent bien plus ) et qui tuent des milliers de d'être humains et d'animaux plutôt que de surfer sur la vague pseudo écolo anti nucléaire ... ( A la mode quand tu nous tiens .... )

Bref , oui au nucléaire , mais surveillé de près et avec encore plus de rigueur qui parfois fait défaut ...

Je vis en Alsace à 20km de Fessenheim.
Je ne suis pas un spécialiste du nucléaire, mais je suis inquiet.
Je partage entièrement la position du Pr Basdevant: il faut stopper Fessenheim immédiatement.
Le physicien nucléaire Jean-Louis Basdevant estime qu’il faut arrêter les centrales nucléaires, plus particulièrement celle de Fessenheim. C’est la leçon qu’il tire de Fukushima.
Un accident nucléaire causerait des milliers de morts et rendrait la vallée du Rhin, vallée très peuplée et très industrielle inhabitable pour des centaines et même des millions d’années.

Osons sortir de la facilité, d’autres sources alternatives existent et incitons les consommateurs à réduirent leur consommation. Éteignons les routes, les autoroutes ces places illuminées toute les nuits. Les voitures ne sont plus équipées de lanternes mais de puissants projecteurs.

Bonjour,

Je me permet d'écrire ces quelques lignes pour vous rappeler que nous avons tous un travail. Le miens est charpentier. J'essaye chaque jours que je travaille, de construire une charpente durable qui ne tombera pas sur la tête des occupants de la batisse. Je pense que vous avez beaucoup plus de travail que moi vu le petit canard boiteux que vous vous efforcez a tenir debout. Je ne pense pas que vous me seriez d'une grande aide par vos connaissance, chacun son travail.
Donc ne me demandez pas de faire votre travail, vous gagnez bien assez avec. Et sachez que lorsqu'un toit tombe sur une tête , nous trouvons toujours le responsable.

Bien que notre démocratie soit un peu bafoué actuellement, j'espère un jour de Justice.
Bon travail, appliquez vous comme j'essaie de le faire chaque jour de travail.

Je vis en Alsace près de Fessenheim.
Je ne suis pas un spécialiste du nucléaire, mais je sais lire.
Et ma position est celle du Pr Basdevant, très argumentée ci-dessous : il faut stopper Fessenheim immédiatement .
Christophe Tq

"UN ACCIDENT GRAVE RENDRA TOUTE LA VALLÉE DU RHIN INHABITABLE ... "

Depuis la catastrophe de Fukushima, Jean-Louis Basdevant, physicien nucléaire, estime qu’il faut « sortir du nucléaire actuel ».DR
Professeur durant 35 ans à l’Ecole polytechnique, le physicien nucléaire Jean-Louis Basdevant estime qu’il faut arrêter les centrales nucléaires, plus particulièrement celle de Fessenheim. C’est la leçon qu’il tire de Fukushima.

Il faut stopper Fessenheim immédiatement, dites-vous. Pourquoi ?
En étudiant la catastrophe de Fukushima en détail, je me suis aperçu que Fessenheim, comme beaucoup de centrales françaises, est dangereuse. J’ai accumulé les données, me suis renseigné dans la presse asiatique et anglo-saxonne. En France, on ne dit pas tout, loin de là. À ma grande stupéfaction, j’ai découvert que les ingénieurs du CEA (Commissariat à l’énergie atomique), d’Areva, de l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire) et de l’IRSN (Institut de radioprotection et de sécurité nucléaire) considèrent qu’un accident grave est improbable en France. C’est pourtant ce qui s’est produit à Fukushima. Les réacteurs à eau présentent tous de gros dangers de fusion du cœur en cas d’arrêt du refroidissement. Même à l’arrêt d’un réacteur, il faut continuer à le refroidir en permanence. Sinon, la température monte de 1° par seconde. Si on ne maîtrise pas cet échauffement, c’est la catastrophe, comme à Fukushima.
Mais l’ASN a tiré les leçons de Fukushima et demandé des travaux de renforcement du radier.
L’ASN dit les choses sans se mouiller, elle fait des recommandations mais ne prend pas de décision. Elle accepte les propositions d’EDF de renforcer le radier, mais il n’y a pas beaucoup de place disponible. Quoi qu’on fasse, le radier ne pourra pas dépasser 2 m d’épaisseur totale, ce qui est tout à fait insuffisant. En cas de fusion du cœur, un radier de 1 m d’épaisseur se perce en une heure. Quand il fait 3 m, il est percé en une journée ou deux. À Fukushima, les radiers avaient une épaisseur de 3 à 6 m…
Par ailleurs, pour recueillir le corium, EDF annonce un système d’écoulement sur une surface de 10 m². Alors que sous le réacteur d’un EPR comme celui en construction à Flamanville, il est prévu un collecteur de corium de 170 m². On se moque du monde : les travaux de renforcement du radier envisagés à Fessenheim ne permettront pas d’arrêter 100 tonnes de matières radioactives à 2 800°. Toute la nappe phréatique rhénane sera contaminée en cas de fusion du cœur.
La nouvelle source froide vous paraît-elle acceptable ?
Non, c’est une sottise. EDF a simplement percé un trou vertical dans la nappe phréatique pour y puiser de l’eau de refroidissement en cas d’accident. C’est la porte ouverte à la contamination de la nappe. Aujourd’hui, on ne construirait plus de centrale sur ce site en raison de la présence du canal, unique source d’eau froide jusqu’à présent. Les autres réacteurs sont construits à proximité de sources naturelles comme un fleuve ou la mer. À Fessenheim, si l’écluse amont est gravement endommagée, une falaise d’eau de plus de 12 mètres déferlera sur la centrale et la noiera, comme la vague du tsunami de Fukushima. Si l’écluse aval se casse, le canal se videra, il n’y aura plus de source froide. Je suis catastrophé par tous ces risques et toutes ces sottises gravissimes. Un accident grave rendra toute la vallée du Rhin inhabitable pendant 300 ans. C’est criminel et cela a été confirmé par l’AIEA, l’Agence internationale pour l’énergie atomique. Par ailleurs, l’IRSN a évalué le coût d’un accident majeur en France, pas forcément à Fessenheim, à 430 milliards d’euros. Qui pourra payer cela ? C’est affolant. Et le bon peuple croit que les ingénieurs sont là pour lui garantir la sécurité…
Durant votre longue carrière de physicien et d’enseignant, n’aviez-vous jamais pensé à l’accident maximal ?
On l’a évoqué après l’accident de Three Mile Island, en Pennsylvanie, en 1979. Les ingénieurs français disaient qu’ils seraient bien capables de se débrouiller. Après Tchernobyl, ils ont imputé la catastrophe aux erreurs de conception, aux causes politiques, aux fautes d’exécutants. Après Fukushima, ils ont invoqué la catastrophe naturelle. En France, les ingénieurs du CEA forment une caste, défendent un dogme qui remonte au nucléaire militaire d’après-guerre. Les décisions sont prises par le lobby nucléaire et l’argent qui pèsent lourd face au politique. Aux États-Unis, plus aucun réacteur n’a été construit après Three Mile Island, à cause du refus du public, des médias et des associations. En France, on en a construit 55.
ÉCOUTER « Stoppons Fessenheim immédiatement », conférence de Jean-Louis Basdevant jeudi 7 mars à 20 h 15, au Fec, place Saint-Etienne à Strasbourg.
LIRE Maîtriser le nucléaire, Sortir du nucléaire après Fukushima , par Jean-Louis Basdevant, éd. Eyrolles (2012), 19,50 €.
BIO
Ancien élève de l’École normale supérieure, le physicien Jean-Louis Basdevant est directeur de recherche au CNRS.
Il a été pendant 35 ans professeur à l’École polytechnique dont il a présidé le département de physique. Il donnait des cours de mécanique quantique, d’énergie nucléaire et d’énergie-environnement.
Spécialiste de physique des hautes énergies et d’astrophysique nucléaire, il a travaillé au Lawrence Berkeley National Laboratory, au CEA à Saclay, au Cern à Genève, dans des laboratoires américains et à l’ INFN de Turin.
le 07/03/2013 à 05:00 par Propos recueillis par Élisabeth Schulthess

La France perd son autonomie alimentaire en cas d'accident et vous prétendez être en mesure de chiffrer cela ? En respectant honnêtement des règles de sécurité dignes de ce nom la France qui est un petit pays serait obligé d'abandonner une grande partie de son territoire et vous prétendez être capable de chiffrer cela ? De qui vous moquez vous ?

Depuis la création et la mise en place du nucléaire il y a eu systématiquement un travail de désinformation de cette industrie quand il ne s'agit pas tout simplement du secret le plus total ou encore du mensonge pur et simple. Sans compter du fait que le système nucléaire même est archaïque (c'est une pauvre machine a vapeur avec un moteur de fou) tout comme le concept de production d’énergie centralisé, une vision du monde qui date d'un autre âge, un fantasme d'adulte mal fini qui presque grabataire rêve encore de gros pétards.

Par contre les mensonges de l'Etat et de l'industrie du nucléaire eux sont bien réels. Le silence ou l'omerta sur la dissémination de la radioactivité dans notre environnement aussi (voir les essais dans le désert Algérien, à Mururoa mais aussi les "accidents" régulier en France et pire, la simple dissémination des déchets dans la nature). EDF pas plus que les autres ne savent pas décontaminer un site ni même démonter une centrale (voir l'affaire de Brennilis) mais se comportent de manière irresponsable.

Comment pouvez-vous prétendre être en mesure de calculer les risques quand vous n’êtes manifestement même pas capable d'informer le public ? On se souvient de vos mensonges pour le nuage de tchernoby.

Alors c'est définitivement non. 0 nucleaire en France. C'est clair ?