Avis de consultation du public sur la demande d’autorisation de mise en service du réacteur EPR de Flamanville (INB 167)

Le réchauffement climatique est toujours d'actualité. La baisse des émissions de CO2 et donc la fermeture de tous les moyens de production d'électricité carbonés charbon et gaz sont une priorité planétaire.

La garantie du service au public est toujours une valeur franco française à laquelle les français sont très attachés, malgré les slogans "tu basses, tu éteins, tu décales". Nous avons donc besoin de MW sûrs, pilotable, BAS CARBONE. La rentabilité sera acquise sur le long terme bien au-delà de 60 ans, plutôt que les ENR avec une durée de vie de 20 ans, une intermittence aléatoire, des subventions publiques massives.

Nous avons besoin de retrouver une indépendance énergétique, économique et géopolitique que les politiques de la fin du siècle dernier nous avaient garantie avec le mix nucléaire et hydraulique.

Connaissant bien celui qui mène ce chantier depuis quelques mois pour avoir travaillé avec lui durant 5 ans, j'ai toute confiance dans ce projet. Le SUFFREN a été mis à l'eau. FLA3 sera couplé.

La technologie reposant sur la fission étant totalement dépassée et compte tenu des risques, qui ne peuvent être statistiquement nuls, je suis tout à fait opposé à la MES de l'EPR.

La fusion remplacera sous 10 ans la fission emportant probablement la fin de l'opérateur historique par les décision d'un ramassis de technocrates (à QI négatif), les mêmes, certainement, qui emportent actuellement la fin d'Ariane Espace.

Je ne pense pas que mon avis puisse avoir un quel qu'on que poids dans cette soit disant consultation, (que je qualifierais volontiers de "soviétique"), le minimum que je puisse faire est de ne plus consommer de l'électricité en provenance d'EDF (et de ses revendeurs). J'invite tous les lecteurs de mon poste à envisager d'autres sources d'énergie, 10 à 20x fois moins cher que le Kwh du marché.

Si vous voulez être indépendant (j'entends souvent cet argument grotesque), soyez le vraiment c'est à dire de tout revendeur d'énergie

L' ia l'a dit Phil Du !

Les projets nucléaires ne sont plus viables . Il faut savoir se retirer a temps .

On sait bien que la taille du rapport n'est pas lisible pour beaucoup d'entre nous .

Il est trop lourd . Pour un jeune qui souhaite travailler dans le nucléaire , cela prête à un risque maximum de notre société . Il n'y a qu'à voir l'exemple des écoles , ou la précision de l'instruction fait débat pour l'excellence . Construire un epr ? Mais bien-sûr .. ...

Qui ?

Entretenir un epr ? Tout a fait .. ... Où ?

Le problème du problème qui est demandé c'est qu'il y a un problème .

Le prix et le délais de notre crise électrique , c'est bien cela .

Une énergie renouvelable donne plus de travail adéquat à nos générations qu'à la portée de l'uranium coupé . L'hydrogène , c'est de l'eau !!!

Le chapitre 14 concerne porte sur "ÉSSAIS DE DEMARRAGE DE LA CENTRALE".



C'est un document de méthodologie qui a, je l'imagine, été rédigé au début de la conception du projet de centrale EPR.



A l'heure de la mise en service et d'une consultation publique, je m'attendais à trouver le compte rendu de ces essais de démarrage de la centrale. Ou à minima que ce compte rendu soit mis en avant.



Je n'ai pas vraiment le temps de chercher dans tous vos documents mais je suis preneur s'il est disponible.

Générer en grande partie par chat.openai



Arguments avancés contre l'EPR de Flamanville :



Coûts élevés et retards importants :

Le projet de construction de l'EPR à Flamanville a été marqué par des retards importants et des dépassements budgétaires considérables. Les coûts initialement estimés ont explosé, ce qui soulève des préoccupations quant à la viabilité économique de cette technologie.



Complexité technique et problèmes de conception :

L'EPR est une technologie nucléaire avancée qui implique des aspects techniques complexes. Les problèmes de conception et les défis techniques rencontrés pendant la construction ont soulevé des doutes quant à la fiabilité et à la sûreté du réacteur.

Sûreté nucléaire remise en question :



Des inquiétudes persistent quant à la sûreté nucléaire de l'EPR de Flamanville. Certains critiquent la conception du réacteur, arguant qu'elle pourrait présenter des risques potentiels pour la sécurité des travailleurs et des populations avoisinantes en cas d'accident nucléaire.



Dépendance continue aux énergies fossiles :

La construction de nouveaux réacteurs nucléaires peut perpétuer la dépendance aux énergies fossiles, car l'extraction, le traitement et le transport de l'uranium nécessitent toujours l'utilisation de combustibles fossiles.



Problèmes environnementaux et gestion des déchets :

L'énergie nucléaire génère des déchets radioactifs, et la question de leur gestion à long terme reste un défi. Le problème des déchets nucléaires n'est pas résolus et ils représentent un gros risque pour l'environnement pendant des milliers d'années!



Évolution du paysage énergétique :

La France devrait plutôt se tourner vers des sources d'énergie renouvelable, telles que l'éolien et le solaire, plutôt que de continuer à investir dans des technologies nucléaires coûteuses et potentiellement risquées.



Risque financier pour les contribuables :

Les dépassements budgétaires et les retards dans la construction de l'EPR de Flamanville ont soulevé des préoccupations quant à la responsabilité financière, avec des craintes que les contribuables puissent finalement supporter une part importante des coûts.



Évolutions technologiques et alternatives :

Certains estiment que les progrès rapides dans les technologies énergétiques pourraient rendre les réacteurs nucléaires obsolètes avant même leur achèvement. Investir dans des alternatives plus sûres et plus durables pourrait être une option plus raisonnable.